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20 Mars 2016
Présidentielle 2017
Nicolas Dupont-Aigan quitte le plateau du JT de TF1
Invité sur TF1 par Audrey Crespo-Mara, Nicolas Dupond Aignan, a choisi le samedi 18 mars de quitter le plateau de TF1 en représailles au fait qu'il ne sera pas convié, comme 5 autres candidats, au Grand Débat prévu sur cette même chaîne le lundi 20 en soirée.
Invité sur TF1 par Audrey Crespo-Mara, Nicolas Dupont-Aignan, a choisi le samedi 18 mars de quitter le plateau de TF1 en représailles au fait qu'il ne sera pas convié, comme 5 autres candidats, au Grand Débat prévu sur cette même chaîne le lundi 20 en soirée. Nicolas Dupont-Aignan a déclaré en substance qu’il ne reviendrait que "lorsque la chaine renouerait avec la démocratie". L'effet médiatique pour TF1 (Groupe Bouygues) a été à cette occasion si négatif que la chaine a décidé de retirer les vidéos de l'événement qui étaient copieusement relayées par tous les médias présents sur le net... Pour le groupe Bouygues, dont l'image en tant que leader du bâtiment et grand constructeur de mosquées, était déjà bien écorné en France, ce clache fait figure de camouflet ! On apprenait à cette occasion que Nicolas Dupont-Aignan aurait été débouté de son recours auprès du Conseil d'Etat dans sa réclamation concernant le Grand Débat, ce qui pose très sérieusement le problème de l'égalité des candidats dans cette campagne présidentielle déjà entachée par des primaires qui ont apporté une audience exceptionnelle aux seuls grands partis. La démocratie serait-elle confisquée par les médias Mainstream avec l'aval des plus hautes instances de la République? Sommes-nous encore en démocratie ou glissons-nous lentement sur la pente despotique qu'ont connue les Pays de l'Est et l'Union Soviétique? C’est bien la vraie question qui se pose aujourd’hui et la fin de l’ère Hollande propose sous les strass et les paillettes un panorama effrayant où business, justice, institutions et politique s’entremêlent dans l'intérêt unique d'une petite classe d'apparatchiks qui n'entendent partager aucune once de leur pouvoir. La sérénité des débats de l'émission prévue ce lundi pourrait en pâtir et ce d’autant que les révélations faites la semaine dernière par le magazine Challenges’ (Groupe Perdriel) sur les finances du candidat d'En Marche, certes avec quelque temps de retard sur la ré-infosphère, pourraient bien changer la donne si les candidats de la droite décidaient enfin de passer à l’offensive…
Bertrand Villeret
ConsultingNewsline
20 Mars 2016
Présidentielle 2017
Nicolas Dupont-Aigan quitte le plateau du JT de TF1
Invité sur TF1 par Audrey Crespo-Mara, Nicolas Dupond Aignan, a choisi le samedi 18 mars de quitter le plateau de TF1 en représailles au fait qu'il ne sera pas convié, comme 5 autres candidats, au Grand Débat prévu sur cette même chaîne le lundi 20 en soirée.
Image : CE TF1 2017
Invité sur TF1 par Audrey Crespo-Mara, Nicolas Dupont-Aignan, a choisi le samedi 18 mars de quitter le plateau de TF1 en représailles au fait qu'il ne sera pas convié, comme 5 autres candidats, au Grand Débat prévu sur cette même chaîne le lundi 20 en soirée. Nicolas Dupont-Aignan a déclaré en substance qu’il ne reviendrait que "lorsque la chaine renouerait avec la démocratie". L'effet médiatique pour TF1 (Groupe Bouygues) a été à cette occasion si négatif que la chaine a décidé de retirer les vidéos de l'événement qui étaient copieusement relayées par tous les médias présents sur le net... Pour le groupe Bouygues, dont l'image en tant que leader du bâtiment et grand constructeur de mosquées, était déjà bien écorné en France, ce clache fait figure de camouflet ! On apprenait à cette occasion que Nicolas Dupont-Aignan aurait été débouté de son recours auprès du Conseil d'Etat dans sa réclamation concernant le Grand Débat, ce qui pose très sérieusement le problème de l'égalité des candidats dans cette campagne présidentielle déjà entachée par des primaires qui ont apporté une audience exceptionnelle aux seuls grands partis. La démocratie serait-elle confisquée par les médias Mainstream avec l'aval des plus hautes instances de la République? Sommes-nous encore en démocratie ou glissons-nous lentement sur la pente despotique qu'ont connue les Pays de l'Est et l'Union Soviétique? C’est bien la vraie question qui se pose aujourd’hui et la fin de l’ère Hollande propose sous les strass et les paillettes un panorama effrayant où business, justice, institutions et politique s’entremêlent dans l'intérêt unique d'une petite classe d'apparatchiks qui n'entendent partager aucune once de leur pouvoir. La sérénité des débats de l'émission prévue ce lundi pourrait en pâtir et ce d’autant que les révélations faites la semaine dernière par le magazine Challenges’ (Groupe Perdriel) sur les finances du candidat d'En Marche, certes avec quelque temps de retard sur la ré-infosphère, pourraient bien changer la donne si les candidats de la droite décidaient enfin de passer à l’offensive…
Bertrand Villeret
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